Amélie Marzouk s’est fait un nom en faisant et en communiquant sur des portraits techniquement très similaires et surtout très identifiables, mais derrière cette apparente simplicité se cache un univers vaste et un amour immodéré des gens qu’elle rencontre via la photographie.
Dans cet épisode, on parle :
de rencontrer les gens,
du syndrome de l’imposteur,
de poésie intérieure,
de ne pas tordre son travail,
d’être intéressé par son sujet,
de faire un portrait plutôt qu’une belle image,
d’être créatif dans la contrainte,
de voir de la beauté partout,
d’oser dire « moi j’aime pas parce que »,
de féminisme positif,
de s’autoriser à faire,
d’écouter son enfant intérieur,
Mais surtout, on va voir en quoi être bavarde est un énorme atout dans la vie.